Cookies settings

01/09/2021, by Raphaele von Koettlitz

Towards inclusive education

Image graphique d'une fille parlant avec une bulle de parole. Elle porte un haut violet.

“Harcèlement, difficultés d’organisation, journées trop chargées, problème de concentration, aller en cours le matin, la pause déjeuner, les soirées d’intégrations impossibles à faire pour moi, se sentir en décalage en permanence, la lumière dans les salles de classe, prendre des notes quand ça va trop vite, somnoler en cours tout le temps, prendre la parole devant les autres, la cour de “récré” ou salle de pause trop bruyante, les camarades de promo qui fument, les conversations inintéressantes…”

Ce ne sont là que quelques-unes des expériences auxquelles les étudiants neuroatypiques sont confrontés dans le monde ordinaire .  C’est pourquoi, cette rentrée, nous nous concentrons sur les pratiques inclusives dans l’éducation. Nous mettrons en lumière différents projets, initiatives et stratégies qui permettent une approche plus inclusive de l’éducation.

Lorsque nous parlons de pratique inclusive, nous entendons par là, la prise en compte de l’accessibilité et des valeurs d’universalisme au sein même du système éducatif. On attend ainsi des écoles qu’elles mettent en valeur le bien-être de tous les étudiants, exaltent les différences, épaulent les élèves dans leur apprentissage et répondent aux besoins individuels de chacun. Cela implique aussi de s’assurer que les styles d’enseignement, les contenus et les ressources d’apprentissage, les méthodes de communication, l’environnement bâti et les structures organisationnelles, etc. sont accessibles à tous. 

Obstacles courants pour les étudiants autistes

Nous avons lancé une enquête auprès de 25 personnes autistes pour mieux comprendre les obstacles éducatifs principaux auxquels elles étaient confrontées. De nombreuses personnes ont déclaré qu’elles ne recevaient que peu ou pas de soutien à l’école parce que leur trouble du spectre de l’autisme n’avait pas été détecté. Or une première étape vers une éducation inclusive consiste à faciliter un diagnostic précoce et à mettre en place le soutien adéquat par la suite. 

Notre enquête a révélé que 80 % des répondants ont trouvé l’enseignement inadéquat au cours de leur scolarité, notamment en raison d’un manque de clarté des instructions. De plus, 52% des personnes ont trouvé l’organisation des cours inaccessible, rencontrant des obstacles dûs au découpage des séances, changement de salle, emploi du temps, etc. Voici les cinq principaux problèmes que nos participants ont révélés comme ayant un impact négatif sur leurs expériences d’apprentissage :

Pyramide violette montrant les 5 principaux obstacles

De l’harcèlement à la fatigue

Parmi les autres problèmes, la majorité des participants ont exprimé une expérience négative en raison de la persistance des brimades et des préjugés :  être différent était et reste une source de harcèlement et d’humiliation. Les troubles du neurodéveloppement font encore l’objet de beaucoup de mythes et de malentendus malheureusement. Il est donc essentiel de sensibiliser à la neurodiversité et de réduire la stigmatisation.

Un autre aspect abordé par de nombreux participants était la fatigue extrême. Devoir masquer ses différences et compenser pour tenir le rythme au quotidien est épuisant. Une personne a commenté, “J’ai dû doubler, voir tripler mes efforts pour y arriver et ne pas décrocher”. 

Le texte dans la bulle lit : Je n'avais pas de diagnostic, j'étais donc juste bizarre aux yeux des autres et moi je me croyais bizarre et folle... Je me suis suradaptée toute ma scolarité. Je travaillais comme une dingue pour réussir et malgré la fatigue et les phases dépressives j'ai réussi. Mais franchement je me demande comment j'ai fait...

Changeons la donne

Les obstacles rencontrés ont poussé 40% des répondants à mettre fin prématurément à leurs études. Ces témoignages montrent que la structure scolaire “classique” n’est pas toujours adaptée à tous les profils. Il est donc essentiel d’intégrer des pratiques inclusives dans la classe pour que tous les étudiants puissent s’épanouir. Qu’il s’agisse d’approches pédagogiques multi-sensorielles, de recadrer les modèles déficitaires des difficultés d’apprentissage ou d’utiliser la technologie pour surmonter les challenges, il existe de nombreuses façons de réduire les barrières et la stigmatisation.

Ce mois-ci, nous allons discuter avec de nombreuses personnes qui font un travail remarquable pour favoriser l’inclusion des étudiants neurodivers. Rejoignez-nous dans notre voyage pour rencontrer la responsable du pôle  handicap de l’université Lyon 3, la directrice d’un lycée spécialisé dans les difficultés d’apprentissage des adolescents, une start-up, Sibius, qui crée un outil innovant de diagnostic de l’autisme, une spécialiste de la dyslexie et bien d’autres encore. 

Nous sommes impatients de nous plonger dans ce sujet important avec vous, pour voir à quoi pourrait ressembler une rentrée inclusive !

Newsletter

06/09/2021, by Jennifer Beneyton

Summary

The start of the new school year at the University of Lyon 3’s Disability Service

La rentrée est un moment tendu pour tout le monde mais aussi un moment charnière pour les étudiants porteurs de handicap. Alors, qui peuvent-ils trouver derrière la porte du Pôle Handicap Étudiant de Université Lyon 3 ?

Équipe de la mission handicap de l’université Lyon 3: Flore, Jean, Elsa, Magali

Ça y est, c’est la rentrée à l’Université Lyon 3. Magali Lastricani, responsable du Pôle Handicap, s’attend, comme chaque année, à voir nombre de nouvelles têtes déboussolées défiler dans son bureau dans les semaines à venir. Étudiants porteurs de handicap ou non.

« La rentrée, c’est déroutant pour tout le monde, mais encore plus pour nos étudiants en situation de handicap, et pourtant, ce n’est pas faute d’anticiper… »

La rentrée, Magali Lastricani la prépare avec son équipe dès le mois de juin. Elle organise des visites. Elle reçoit les lycéens qui en font la demande pour faire un premier état des lieux de leurs besoins. En effet, certains nécessiteront la présence d’accompagnateurs ce qui engendre des recrutements. De son côté, le service de médecine préventive fait le bilan avec les étudiants accompagnés au cours de l’année qui s’achève pour faire le point sur les éventuels nouveaux besoins et ajuster les aménagements pour l’année suivante. Des emails avec relance sont envoyés à tous les étudiants qui ont coché la case signalant un handicap lors de leur inscription. Tout est fait pour que personne ne passe à travers les mailles du filet.

« Ça a pu arriver, mais c’est rare. Il faut être vigilant, mais pas intrusif. »

C’est là, tout l’art de ce métier : trouver le bon dosage de soutien sans être infantilisant, aider les étudiants sur le chemin de l’autonomisation tout en leur offrant une présence rassurante.

Un suivi personnalisé avec l’insertion professionnelle en ligne de mire.

Tout commence par le projet de l’étudiant. C’est la porte d’entrée principale. Quels sont ses souhaits ? Vers quel avenir professionnel se destine-t-il ? Une fois ce projet identifié, il s’agit de déterminer les besoins de l’étudiant, ce qui ne coule pas forcément de source pour tous.

« Et ce n’est pas grave, on prend autant de temps qu’il le faut pour nos étudiants. Ce temps de réflexion est primordial, on est sur du sur-mesure et sur du long cours. »

Parfois, une équipe pluridisciplinaire se met en place autour de l’étudiant avec Magali, un médecin, un enseignant, le référent handicap de la composante de l’étudiant, et le cas échéant, les autres structures qui accompagnent l’étudiant en dehors de sa vie universitaire… Plus on multiplie les regards et les expériences, plus on affine l’accompagnement de l’étudiant, facilitant ainsi son chemin vers une autonomie grandissante.

« Mon objectif, c’est que mes étudiants me disent : merci, mais je n’ai plus besoin de vous ! »

Magali et son équipe agissent telle une boîte à outil qui permettrait de pallier les difficultés rencontrées par certains pour mettre tout le monde sur un pied d’égalité. L’une des facettes de l’accompagnement, c’est d’apprendre aux étudiants à anticiper, à s’organiser avec l’idée de capitaliser sur cet accompagnement pour faciliter leur insertion professionnelle, tout en restant dans un cadre réglementaire. Il n’est pas question de tout faire à leur place, cela serait infantilisant et finalement contre-productif. Or ce qui anime ce pôle, c’est véritablement de rendre à ces étudiants leur pouvoir de décision et d’autodétermination.

Des étudiant comme les autres

Être étudiant, c’est aussi, faire des rencontres, participer aux soirées étudiantes, éventuellement sécher des cours… C’est pourquoi Magali milite pour que les étudiants accompagnés aient le droit de ne pas réussir, tout comme les autres étudiants. Ce n’est pas parce qu’il y a un accompagnement qu’on est en droit d’attendre une réussite assurée. Tout comme il faut respecter le droit de certains de ne pas être accompagnés, il faut respecter le souhait de certains de vouloir s’amuser. De la même manière, il faut respecter la vie privée des étudiants. Si un étudiant connaît bien ses besoins, rien ne l’oblige à divulguer sa pathologie. Cela lui appartient. L’équipe veille à bâtir son accompagnement via le prisme du projet et des besoins de l’étudiant plutôt que via le prisme du handicap.

Depuis quelques années, Magali a mis en place un système de don de notes : le pôle récupère les notes des volontaires et les distribue aux étudiants qui en font la demande. Cette initiative qui rencontre un fort succès est très déstigmatisante dans la mesure où les donateurs et les bénéficiaires restent anonymes. En outre, cela limite le recours aux « preneurs de note » qui sont effectivement une aide précieuse, mais qui font parfois figure d’obstacle à la création de lien social au sein de l’amphi.

Pourquoi un nom si stigmatisant pour un pôle qui se veut déstigmatisant ? Le terme de mission ou pôle handicap reste relativement connoté et peu apprécié des personnels de ces service ainsi que de leurs bénéficiaires. Néanmoins, cela reste encore un point de repère pour beaucoup. Il faudrait faire évoluer cette appellation au niveau du Ministère.

Une équipe soudée et soutenue

Le Pôle Handicap de Lyon 3, c’est quatre personnes à temps plein avec un turn-over très faible voire inexistant. En général, les personnes qui oeuvrent dans ce secteur ne sont pas très mobiles.

« Quand on travaille avec de l’humain, on doit se renouveler sans cesse et on apprend tous les jours. »

Chacun a sa spécialité : Elsa, c’est l’accueil et la récupération des notes, Flore, qu’on appelle « le couteau suisse », gère davantage les aspects administratifs de la scolarité, Jean s’occupe de la transcription braille et fait le lien avec le monde culturel, quant à Magali, c’est la mémoire vivante du service. Mais ce n’est pas tout ! Ils sont épaulés par une vingtaine d’étudiants vacataires pour assurer les rôles d’accompagnateurs. Ils travaillent aussi en étroite collaboration avec la médecine préventive et les enseignants.

« Le fait que les enseignants partagent avec nous leurs visions pédagogiques est primordial dans la réussite d’un accompagnement. »

En effet, cela permet d’une part de resituer l’individu accompagné en tant qu’étudiant, et d’autre part, c’est la compréhension des attendus du cours et des examens qui va orienter l’accompagnement. Sans cela, les chances de réussite seraient considérablement amoindries. Ces échanges avec les enseignants ont aussi la vertu de les sensibiliser et de les former à la question du handicap et des éventuels obstacles que peuvent rencontrer leurs étudiants. Magali a commencé à travailler à Lyon 3 en 1987, et a été promue chargée de l’accueil des étudiants en situation de handicap à partir de 2002, soit bien avant la loi de 2005 (insérer le lien). Elle portait déjà assistance aux étudiants en difficultés avec les moyens à sa disposition. Grâce à ses connaissances empiriques, à sa grande capacité d’écoute et aux nombreuses formations auxquelles elle et son équipe participent encore très régulièrement, l’Université Lyon 3 est passée maître dans l’art d’accompagner les étudiants. Au fil du temps, des moyens logistiques plus importants ont pu être déployés. C’est ainsi qu’un espace d’aide à la vie quotidienne a pu être mis à la disposition des étudiants pour se restaurer, pour étudier au calme ou se reposer.

Et même si Magali a vu se succéder diverses équipes de Direction depuis qu’elle est là, elle peut témoigner de leur soutien indéfectible vis-à-vis du pôle et de ses engagements.

« S’il y a peut-être quelque chose dont je suis un peu fière, c’est d’avoir insufflé une certaine culture du handicap au sein de l’Université de Lyon 3. », conclue la trop modeste Magali.

Ressources :

Newsletter

Digital tools to support learning

Nous vivons de fait dans un monde numérique. Pourquoi ne pas profiter de la richesse de la technologie à portée de main pour surmonter les obstacles liés aux différences d’apprentissage ?

Les technologies d’assistance, comme défini par l’OMS, sont les outils ou appareils qui permettent d’améliorer la participation, l’autonomie et la productivité des individus neuroatypiques et handicapés. Il s’agit d’outils qui aident à la vie quotidienne, en classe, au travail et à la maison. Il peut s’agir de technologies spécialisées comme Dragon, un logiciel de transcription de la parole en texte, mais aussi tout simplement les cartes Google qui aident à s’orienter plus facilement !

Nous en avons répertorié certains pour faciliter les différents aspects de l’apprentissage. Ils ont l’avantage d’être gratuits et accessibles sur un large éventail d’appareils numériques. Bonne lecture! 

Une personne utilisant un smartphone, avec un ordinateur et un café en arrière-plan. Des messages dessinés entourent le téléphone

Outils pour la lecture

Filtres de couleurs

Si vous êtes sensible à la lumière et aux couleurs, vous pouvez utiliser une teinte pour l’écran qui réduit la fatigue visuelle. Ceci est particulièrement utile pour les utilisateurs dyslexiques, autistes et ceux avec le syndrome d’Irlen (sensibilité scotopique). Vous pouvez dans un premier temps modifier les réglages de vos ordinateurs :

Sinon, ColorVeil ajoute un filtre de couleur personnalisable sur votre bureau, votre navigateur Internet, votre lecteur vidéo, votre document, votre courriel ou votre programme.

Mac et Windows proposent également différents modes d’apparence où vous pouvez utiliser une apparence claire ou sombre pour la barre des menus, les fenêtres et les apps intégrées à votre appareil. Vous pouvez découvrir comment les activer ici :

 

Mode nocturne

De nombreux appareils sont dotés d’un “mode nuit” intégré qui supprime la luminosité bleue et la remplace par une couleur plus chaude, un rouge orangé, que vous pouvez régler selon vos préférences. Il a été démontré que l’éblouissement bleu des écrans peut provoquer une fatigue visuelle et perturber le sommeil, il s’agit donc d’une astuce utile pour tous !

Sinon, F.lux est un excellent outil que vous pouvez télécharger gratuitement et qui est disponible sur Mac, Windows, Linux, Android et iPhone/ iPad.

 

Adapter le texte à vos besoins

Lecteur Immersif est un outil gratuit qui met en œuvre des techniques éprouvées contribuant à améliorer la lecture pour les utilisateurs quels que soient leur âge et leurs compétences. C’est un outil qui peut être particulièrement utile pour les personnes dyslexiques.

Il comprend des fonctions qui lisent le texte à voix haute, qui le découpent en syllabes et qui augment l’espacement entre les lignes et les lettres. Il est également possible de modifier la taille du texte, la police, la couleur d’arrière-plan et la mise en page du texte.

Le lecteur immersif est disponible sur les plateformes suivantes:

Le mode “focus” de Word est également très utile pour éliminer toutes les distractions. Il permet de masquer tout ce qui se trouve sur votre écran pour ne laisser que le document sur lequel vous travaillez. Pour l’activer simplement allez dans le menu “Affichage”: vous le trouverez dans l’onglet “Affichage” du ruban et dans la barre d’état (tout en bas à droite de la fenêtre).

Carte mentale

Parfois, lors de la phase de planification, il peut être utile de noter toutes vos idées, quel que soit leur ordre. Cela peut aider à voir les choses de manière plus visuelle, à voir comment les idées peuvent s’enchaîner. Si vous aimez planifier vos essais, vos projets ou votre temps de manière visuelle, ces outils peuvent vous être utiles.

Organisation 

Au lieu d’essayer de tout garder en tête, ce qui peut parfois s’avérer périlleux, de nombreuses personnes utilisent un outil d’organisation qui donne une présentation visuelle des tâches de la journée, ce qui aide à réduire le stress et l’anxiété. Nous vous présentons ici donc nos outils de liste de tâches préférés, qui peuvent vous aider à organiser vos projets ou vos tâches quotidiennes.

Un coup de projecteur spécial sur Habitica, parce que c’est le plus ludique et le plus amusant de la liste. La devise de l’application est “Faites de votre vie un jeu”. Habitica est une application gratuite permettant de construire des habitudes et d’augmenter votre productivité, qui traite votre vie comme une jeu. Avec des récompenses et des punitions internes au jeu pour vous motiver, et un réseau social puissant pour vous inspirer, Habitica peut vous aider à accomplir vos objectifs.

Lecteur d’écran (texte à voix haute)

Pour ceux qui traitent l’information plus facilement auditivement, les outils de synthèse vocale peuvent être très utiles. Cela peut vous aider à relire vos écrits pour repérer les erreurs, mais aussi permettre à vos yeux de se reposer si vous vous sentez fatigué. 

Une bonne stratégie pour faciliter le traitement des informations écrites consiste même à lire et à écouter le texte simultanément, ce qui permet un double renforcement.

Voici quelques-uns de nos outils préférés:

N’oubliez pas que la plupart des appareils sont dotés de fonctions intégrées de synthèse vocale aussi !

Saisie vocale

Parfois, il est plus rapide et plus facile de dicter ce que l’on souhaite écrire. Cela évite de se préoccuper de l’orthographe et de la structure des phrases. Vous pouvez simplement parler librement et modifier le texte par la suite si nécessaire. Cela s’avère très utile pour rédiger des e-mails, des essais et même des transcriptions d’entretiens. Voici quelques outils de dictée qui fonctionnent directement dans les logiciels de traitement de texte :

Si vous travaillez avec du contenu vidéo et souhaitez pouvoir accéder à une version texte du dialogue, Youtube dispose d’une excellente fonction intégrée de génération automatique de sous-titres. La transcription n’est pas toujours exacte à 100 %, vous devez donc vérifier le résultat final, mais cela peut vous faire gagner beaucoup de temps et d’énergie. Vous pouvez également télécharger une transcription complète de la vidéo.

Beaucoup d’entre nous ont travaillé à distance pendant la pandémie et ont utilisé des plateformes de réunions virtuelles. Ce qui est vraiment cool, c’est que plusieurs d’entre elles disposent maintenant de services de sous-titrage automatique pour renforcer le dialogue en direct.

Sans oublier, bien sûr, que presque tous les smartphones ont une fonction intégrée de saisie vocale… Pour en savoir plus :

Correcteur de grammaire et d’orthographe

De nombreux programmes de rédaction ont des outils de correction intégrés, mais nous en avons trouvé d’autres qui peuvent vous aider à avoir l’esprit tranquille si l’orthographe et la grammaire vous posent problème !

Prise de notes

Vous recherchez peut-être un programme qui vous aidera à organiser vos notes plus efficacement ? Ou qui vous permettra d’être créatif et d’enregistrer vos tâches et vos pensées de différentes manières ? 

Ces différentes applications vous permettent de créer des systèmes de classement sur mesure, avec des outils de recherche par mots clés pour que vous puissiez toujours trouver ce que vous cherchez.

Office Lens pour iPhone et iPad (iOS) Office lens est une application plutôt sympa qui vous permet de numériser des notes manuscrites et de les convertir en texte tapé grâce à la technologie de reconnaissance optique de caractères.

Newsletter